Dans le Real Paper de Boston du 22 mai 1974, le critique musical Jon Landau écrivait : " J'ai vu l'avenir du rock'n'roll, il s'appelle Bruce Springsteen". Personnellement je me suis passé aisément de cette avenir. Puis, à l'age des découvertes, en achetant l'album "Nebraska" (encore) pour la pochette on peut reconnaitre que sans ses semi-remorques de matos, ses musiciens du E Street Band, le boss peut écrire quelque chose de valable et touchant pour mes oreilles. Avec seulement une guitare, un harmonica et un tambourin sur un magnétophone quatre pistes, voici la complainte du working class hero moyen.
1. "Nebraska" – 4:32
2. "Atlantic City" – 4:00
3. "Mansion on the Hill" – 4:08
4. "Johnny 99" – 3:44
5. "Highway Patrolman" – 5:40
6. "State Trooper" – 3:17
7. "Used Cars" – 3:11
8. "Open All Night" – 2:58
9. "My Father's House" – 5:07
10. "Reason to Believe" – 4:11
2. "Atlantic City" – 4:00
3. "Mansion on the Hill" – 4:08
4. "Johnny 99" – 3:44
5. "Highway Patrolman" – 5:40
6. "State Trooper" – 3:17
7. "Used Cars" – 3:11
8. "Open All Night" – 2:58
9. "My Father's House" – 5:07
10. "Reason to Believe" – 4:11
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